jueves, 8 de octubre de 2015

Une campagne-choc contre la propagande djihadisteResultado de imagen de jihadisme
Source: http://www.bnr.nl/nieuws/333872-1408/ruime-steun-in-kamer-voor-aanpak-jihadisme

Le gouvernement diffuse un film qui dissèque les arguments utilisés par les réseaux terroristes pour convaincre les jeunes de partir faire le djihad.

"Ils te disent : Sacrifie-toi à nos côtés, tu défendras une juste cause. En réalité, tu découvriras l'enfer sur terre et tu mourras seul, loin de chez toi. Ils te disent :Rejoins-nous et viens aider les enfants syriens. En réalité, tu seras complice de massacres de civils." Après les attentats de Paris, le gouvernement se mobilise contre la propagande djihadiste. Un clip vidéo diffusé mercredi décrypte les arguments utilisés pour manipuler les jeunes Français et les convaincre de rejoindre les rangs de l'organisation État islamique : la promesse d'un monde pur, d'un combat héroïque, d'une juste lutte contre l'armée barbare de Bachar el-Assad. Puis les confronte, images-chocs à l'appui, à la réalité qui attend sur place les apprentis djihadistes.
Le gouvernement a mis en ligne un site destiné à lutter contre la propagande djihadiste.
Publié le  | Le Point.fr


#Stopdjihadisme : Ils te disent… por LePoint

Des parents meurtris témoignent dans quatre spots. Leurs enfants sont partis en Syrie au côté des jihadistes.

Une campagne a été lancée ce mercredi 7 octobre sur les écrans par le gouvernement. Elle vise à sensibiliser l'opinion et tenter de convaincre les jeunes de ne pas partir faire le jihad en Syrie ou en Irak. Quatre spots sont diffusés. Ils diffusent les témoignages de quatre familles qui ont été confrontées et détruites par le départ de l'un de leur proche. Eux n'ont pas su déceler à temps la radicalisation de leur enfant via les réseaux sociaux ou leur entourage. Ils sont aujourd'hui l'écho de ces centaines de parents en détresse et souvent incompris. Baptiste, le père de Léa partie à 16 ans  à peine s'y confie.

"On nous a volé notre enfant"

"C'est elle qui nous a appelés. Qui nous a dit 'Papa, Maman je vais vous faire du mal, mais je suis partie en Syrie", raconte-t-il. "Là vous avez toute la terre qui vous tombe dessus. Je pense qu'elle a trouvé l'enfer. On nous a volé notre enfant. Léa qui est partie, cette personne joviale, joyeuse, est morte pour nous", ajoute-t-il. Comme lui, Véronique et Saliha livrent leur témoignage bouleversant.

Une campagne pour tenter de lutter contre les départs pour le jihad
Mis à jour le  , publié le 

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