Source de l'image: http://www.sofrigam.es/tratamientos-anticancerosos-importancia-cadena-frio
Pour cet ancien champion du monde de judo, pouvoir entraîner ces enfants relève de l’exploit. En 2011, une leucémie a failli l'emporter. Aujourd'hui, Frédéric va mieux grâce à un médicament : le Glivec, un anticancéreux quasiment miraculeux. Un miracle au coût exorbitant. "Un comprimé coûte 166 euros et depuis cinq ans j'ai coûté 300 000 euros à la société", explique Frédéric.
La ministre de la Santé compte revoir la fixation des prix
Le tout est remboursé à 100% par la Sécurité sociale. Des médicaments anticancéreux très innovants extrêmement performants, mais horriblement coûteux, il en existe plusieurs. Le Glivec coûte de 25 000 à 60 000 euros par an. Il y a aussi le Yondelis qui soigne les cancers des tissus mous comme les muscles et qui coûte 50 000 euros par an. Le Keytruda enfin, traite le mélanome et peut coûter jusqu'à 100 000 euros par an. Devant l'envolée de ces tarifs, la ministre de la Santé compte revoir la fixation des prix. Hors de question, répondent de leur côté les laboratoires pharmaceutiques. Pour de nombreux cancérologues, cette situation ne peut plus durer.
Source: Franceinfo tv Mis à jour le , publié le
Santé : pourquoi les médicaments anticancéreux sont-ils si chers ?
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