lunes, 6 de enero de 2014

EFFETS DU CANNABIS SUR LE CERVEAU


   Des expériences sont menées sur l’impact dans le cerveau du tétrahydrocannabinol, un des dérivés actifs du cabannis, par les chercheurs du laboratoire de l'INSERM à Bordeaux (Gironde)

Les vrais effets et dérèglements du cannabis sur le cerveau

   Que disent les dernières recherches sur les effets du cannabis, notamment la consommation répétée et souvent précoce s'agissant des plus jeunes ? Des expériences sont menées sur l’impact dans le cerveau du tétrahydrocannabinol, un des dérivés actifs du cannabis, par les chercheurs du laboratoire de l'INSERM à Bordeaux (Gironde). L'oubli serait un des effets principaux du cannabis et l’échec scolaire serait presque prévisible. Un garçon de 20 ans raconte ses six ans de consommation et les dérèglements subis dans sa scolarité et sa motivation en général.

Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un trouble psychiatrique grave qui peut occasionner chez les personnes atteintes une incapacité à mener une vie normale. Comme son nom le suggère, ce trouble est la conséquence directe d’un trauma antérieur. Parmi les symptômes figurent les souvenirs de l’évènement à l’origine du traumatisme, l’évitement des facteurs déclencheurs, l’anxiété, la dépression, la colère et l’hypervigilance.

Prévalence du TSPT au plan mondial

Jusqu’à 8,2 % des Américains et 9,2 % des Canadiens souffrent de TSPT, et les estimations du taux de prévalence mondiale varient considérablement, allant de 1,3 % à 37,4 %[1]. De nombreuses personnes souffrant de TSPT font état d’un soulagement notable des symptômes grâce à la consommation de cannabis, et l’on a fait récemment état de plusieurs témoignages choquants de la part de vétérans américains et d’autres personnes touchées, condamnées à des peines d’emprisonnement sévères pour leur consommation. Manifestement, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour s’assurer que ces personnes soient en mesure de se soigner de manière appropriée.
Toutes les personnes ayant vécu un évènement traumatique ne développeront pas un TSPT. Une étude a démontré que 17 %[2] des vétérans de la guerre d’Irak développeront un TSPT, un trouble de l’anxiété généralisé ou une dépression, et une autre étude a révélé que 25 %[3] des enfants exposés à un trauma développeront un TSPT. Une autre étude a conclu que les jumeaux monozygotes (ou identiques)[4] présentent un risque accru de développer un TSPT après un traumatisme vécu au combat si leur jumeau souffre également de ce trouble, mettant en évidence une prédisposition génétique.

Les vrais effets et dérèglements du cannabis sur le cerveau

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